Grève Construction

Suis-je le seul ici à être en grève? J'ai hâte de retourner travailler, Une chance que j'Ai pas une famille à faire vivre.

L'argent sort et ne rentre plus depuis 2 semaines


On devrait être libre de faire la grève ou non. Jamais mon syndicat ma demander mon opinion
J ai pas les moyen de perdre des semaines de travail $$$$$$$$$$$$$

Regarde l'opinion d'un lecteur dans le journal de Québec d'hier ou d' aujourdhui, il dit que les syndiqués donnent en moyenne 35 ou 75 millions de $$$ par année en cotisation syndicale et que vous n'avez même pas de fond de grêve , Il se demande c'est qui les caves là dedans .

Egouine écrit:
Jamais mon syndicat ma demander mon opinion

C un peu étonnant , normalement ils convoquent les membres pour voter , à moins que t'aies manqué ça.


35 ans dans la fonction publique et jamais vu une grève déclanchée sans consulter les membres auparavent ....................pis une fois j'étais en estie après eux autres et je leur ai dit lors d'une réunion de vote pour la grève que leur piquet de grève ils peuvent ben se l'mettre dans l'c*l.

On est sortis pareil pis j'ai piqueté avec les autres........

et aucune intimidation ne se fait..

Rénovaideur écrit: et aucune intimidation ne se fait..

......pis dire qu'à l'école y faut appeler ça du bullying.........

Sur un chantier de condos 4 étages la semaine passée, plusieurs travaillaient. Une gang de grévistes sont venus «expliquer» que les gars devraient par solidarité quitter le chantier. Pour aider un des travailleurs, ils ont descendu sa scie à onglet en bas du 4 ème étage.......mais pas par l'escalier....

Sa fait 23 ans que je suis dans le domaine et jamais nos opinion ont été respecter. Cest la mafia le syndicat, jai jamais eu besoin d eux pour me placer et négocier mes avantages. Si j avais eu le choix jamais je me serais syndiquer

Egouine écrit:
Sa fait 23 ans que je suis dans le domaine et jamais nos opinion ont été respecter.


Cest la mafia le syndicat

C se que j'ai pas mal toujours pensé itou...........une mafia genre '' ligitime '' ou '' mafia légalisée ''.

les syndicats tel qu'ils le sont aujourd'hui sont désuets. les enjeux d'aujourd'hui ne sont pas les enjeux d'il y a 50 ou 70 ans...pourtant les syndicats ne s'y sont pas ajustés.

On est plutôt individuliste. La solidarité, c'est de moins en moins ancré dans nos valeurs.

Je travaillais dans le milieu scolaire quand il y a eu des journées de grêve pour mettre la pression sur le gouvernement d'appliquer sa propre loi, soit l'équité salariale. Seigneur, que j'ai entendu chialer à cause des journée de salaire perdu, du piquetage et des manifestations (4-5 jours au total). C'est drôle quand l'équité a commencé (les salaires ont augmenté entre $4 et $5/heure) et que le rétroactif est arrivé (quelques milliers de dollars), pas personne a chialer.

Pour les syndicats, je pense qu'on est parti de rien pour se rendre à l'extrême, avec toute la schnoute qui se brasse, je pense qu'on va revenir à un plus juste un milieu. Il faut pas oublier non plus que pour les 2-3 crotter qu'on entend parler à la TV, y'a des milliers de personnes au Québec qui s'impliquent dans leur organisation syndicale et qui ont a coeur le bien-être de leurs membres. Ils font beaucoup de travail particulier, accompagné les membres lorsque des représentations devant la CSST et le CLP, accompagné chez le médecin de l'employeur, accompagnée un membre lorsqu'il reçoit un avis disciplinaire, contesté tout congédiement (sans jugée la situation ou la personne congédiée.

Y'a un autre fait qui me reviens... lorsque le vote de grêve s'est tenu, il y a eu, de mémoire, 75 votants sur 650 membres. Si c'est trop d'ouvrage de prendre de ton temps pour aller voter, mais subit la décision prise pas vote.

Pour que les grèves soit efficace, il faudrait que les têtes dirigeantes eux aussi ne sont pas payer pour qu'ils puissent eux aussi savoir c'est quoi de ne pas avoir de revenue et c'est bon dans tous les domaines de n'importe quel syndicat.
Mais jamais qu'ils ne vont s'abaisser au niveau des vrais travailleurs et en subir les conséquences.