Dindons sauvages

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il y a 3 ans 1 mois #1 par Roger
Dindons sauvages a été créé par Roger
Photos prises il y a quelques instants. 

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Roger
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il y a 3 ans 1 mois #2 par Rubrifolia
Réponse de Rubrifolia sur le sujet Dindons sauvages
Est-ce que la cabane a oiseaux rouge a été bati pour elles?

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il y a 3 ans 1 mois #3 par téquil
Réponse de téquil sur le sujet Dindons sauvages
en effet ils sont de plus en plus présent au Quebec,,meme des faisans comme celui-ci chez un chum de Berthier sur mer,,2 ou 3 en 2 semaines sur son terrain 
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il y a 3 ans 1 mois #4 par Goldbug
Réponse de Goldbug sur le sujet Dindons sauvages
Chez moi à Wentworth (basses laurentides), y en a vraiment beaucoup. Dans mon coin y en a des douzaines en permanence. L’an dernier j’en avais une dizaine sur mon terrain. Ca fait pas mal de bruit, surtout quand ils ont leurs petits... ca a occupé mes chats une partie du printemps.

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il y a 3 ans 1 mois #5 par Creation Caco
Réponse de Creation Caco sur le sujet Dindons sauvages
Sophie aimerait sûrement cela, l'an passé j'en ai entendu un roucoulé (sais pas si c'est le bon mot) dans mon bois, mais pas vu. hihi

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il y a 3 ans 1 mois #6 par Liberté 55
Réponse de Liberté 55 sur le sujet Dindons sauvages

Creation Caco écrit: Sophie aimerait sûrement cela, l'an passé j'en ai entendu un roucoulé (sais pas si c'est le bon mot) dans mon bois, mais pas vu. hihi
 

Un dindon, ça "glougloute" Jacques.
Pas certain que ta Sophie aimerait tant cela rencontré un dindon. Surtout un gros "tom" jaloux de son harem. Ça peut être mauvais en titi un dindon...
Certains agriculteurs en Beauce commencent à les aimer de moins en moins. Surtout après les semences du printemps. Ils font aussi beaucoup de dégâts dans les "rouleaux" d'ensilage. Ils souillent  l'ensilage avec leurs excréments.

Une vie à s'occuper des autres, une autre à faire des meubles!

Je suis dans la Rue, maintenant certain d'aimer cela!

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il y a 3 ans 1 mois #7 par Roger
Réponse de Roger sur le sujet Dindons sauvages

Rubrifolia écrit: Est-ce que la cabane a oiseaux rouge a été bati pour elles?




C'est une mangeoire à l'épreuve des écureuils ... soit disant. A la première occasion ils l'ont vidée. 
 Elle est disponible pour les dindons.
 


Roger

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il y a 3 ans 1 mois #8 par Mario
Réponse de Mario sur le sujet Dindons sauvages

téquil écrit: en effet ils sont de plus en plus présent au Quebec,,meme des faisans comme celui-ci chez un chum de Berthier sur mer,,2 ou 3 en 2 semaines sur son terrain 


 

Ça par contre, c'est un faisan à collier. Ce n'est pas indigène au Québec. Ce sont souvent des faisans d'élevage qui se sont échappés. Mais c'est un bel oiseau. J'utilise beaucoup de plumes de faisan à collier dans la fabrication de mes mouches pour la pêche!

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il y a 3 ans 1 mois #9 par Goldbug
Réponse de Goldbug sur le sujet Dindons sauvages
mffp.gouv.qc.ca/la-faune/especes/envahissantes/faisan-colchide/

Le faisan de Colchide appartient à la famille des Phasianidés. Sa très longue queue effilée est caractéristique de l’espèce. En vol, on peut remarquer ses ailes courtes et arrondies. Cet oiseau brunâtre de taille moyenne peut ressembler à une poule. Les deux sexes sont différents, le mâle étant plus gros et beaucoup plus coloré que la femelle.
Le plumage bronzé du mâle contraste avec le collier blanc de son cou. Des plumes bleu-vert iridescentes ornent chaque côté de sa tête verte ornée de caroncules (protubérances qui se trouvent derrière la tête et le cou) rouge vif. De larges bandes noires colorent sa longue queue pâle. Sa face est rouge, sa poitrine est marron et ses flancs tirent sur l’orangé. Le dessus de ses ailes ainsi que son croupion sont grisâtres.
La femelle, plus terne que le mâle, est tachetée de brun et son dos est marqué de petits points noirs. Elle ne possède pas la tête colorée du mâle. Le juvénile est semblable à la femelle. Les jeunes mâles commencent à ressembler aux adultes à partir de l’âge de deux mois.
Espèces similaires
Le mâle ne ressemble à aucune autre espèce d’oiseau sauvage au Canada. La femelle peut ressembler au tétras à queue fine, mais ce dernier est plus petit, sa queue est plus courte et blanche sur les côtés. De plus, il a des taches blanches sur les ailes et ses tarses sont emplumés.
Habitat
Les prairies, les fermes, les vergers et les parcs résidentiels représentent des habitats potentiels pour le faisan de Colchide. Les champs de plantes fourragères et en culture sont recherchés pour la nidification et l’alimentation. Son régime alimentaire est diversifié. Il se nourrit principalement de matière végétale, de graines, de glands, de baies sauvages et de céréales (tels le maïs et le blé), mais il consomme aussi des souris et des gastéropodes. À l’hiver, les faisans se rassemblent en groupe de 30 à 40 individus et se réfugient dans des étangs à quenouilles ou sur des terrains broussailleux. Le manque de nourriture incite les faisans à s’approcher des pâturages et des postes d’alimentation. Pour répondre à ses besoins en calcium, l’espèce a besoin de sols calcaires. Au Québec, l’épaisseur du couvert de neige est plus limitante pour l’espèce que le froid (voir carte de répartition). En effet, le faisan éprouve de la difficulté à trouver sa nourriture sous un épais couvert de neige et ne pourrait pas survivre dans un milieu recevant plus de 125 cm de neige annuellement. En le nourrissant en hiver, les humains permettent aux oiseaux de combler leurs carences alimentaires. Les changements climatiques devraient contribuer à l’établissement des faisans de Colchide au Québec en réduisant l’épaisseur de la couverture nivale et la durée des épisodes de froids extrêmes.
Reproduction et croissance
C’est en février ou en mars que le mâle commence à s’approprier un territoire pour y attirer des femelles, territoire qu’il défendra vigoureusement contre les autres mâles qui voudraient y pénétrer. Le faisan de Colchide est une espèce polygine (qui se reproduit avec plusieurs femelles durant une même saison). Le harem du mâle est généralement composé de trois ou quatre femelles. Le mâle choisit habituellement un milieu ouvert comme territoire de nidification, entouré de quelques boisés et broussailles pouvant lui servir d’abri s’il se sent menacé.
La femelle s’occupe seule de la construction du nid, de l’incubation et des soins donnés aux jeunes. Le nid consiste en une dépression peu profonde dans le sol, garnie de feuilles et d’herbes. On le trouve à couvert dans les champs, le long des clôtures, dans un fossé ou dans une haie d’arbustes. La température qui prévaut au cours des trois semaines précédant la période de ponte aura un effet déterminant sur la productivité et l’abondance de la population de faisans de Colchide. Du temps frais peut retarder la ponte et inciter les femelles à pondre au hasard ou dans un nid de dépôt, qui consiste en un nid commun partagé avec d’autres femelles, mais qui est rarement incubé. Les femelles ne produisent qu’une seule couvée par année, sauf si elles subissent un échec de nidification. Le cas échéant, elles peuvent tenter de nicher jusqu’à deux fois au cours de la saison.
Historique de l’introduction et principaux vecteurs de propagation
Le faisan de Colchide est originaire d’Asie, plus précisément de Chine, de Corée et du Japon. Les premières introductions de l’espèce en Amérique du Nord ont débuté en 1773, à New York. Il faut attendre en 1881 avant de connaître le premier succès d’introduction de l’espèce sur le continent, réalisé à la suite du lâcher de 28 oiseaux en Oregon. Le faisan de Colchide, que l’on trouve aujourd’hui en Amérique du Nord, est un hybride issu de plusieurs sous-espèces introduites.
Au Québec, c’est au début des années 1900 que les premiers individus ont été relâchés. Il s’agissait d’oiseaux élevés pour la chasse dans des fermes à gibier. C’est de cette façon que des individus ont été libérés dans la province, à intervalle régulier dans les années 1950 à 1960 aux environs de Kamouraska, de Québec et de l’île d’Orléans. Il est probable aussi que des individus en provenance des États-Unis soient venus s’installer dans la province. De 1940 à 1982, une population de faisans de Colchide s’était établie dans les cimetières du mont Royal. L’effectif de cette population a culminé en 1949 alors qu’elle comptait 143 individus. Cette population qui a fluctué au cours des années se serait maintenue grâce à la nourriture fournie par les humains en hiver, aux petits fruits trouvés dans les arbustes à proximité du cimetière ainsi qu’à l’absence presque totale de prédateurs et de compétition pour les meilleurs sites de nidification. Des faisans de Colchide ont également survécu sur les terrains du Jardin zoologique de Charlesbourg de 1943 à 1954, également grâce au nourrissage artificiel pendant l’hiver.
L’espèce est relativement sédentaire, mais peut se déplacer entre deux habitats durant la saison en réponse aux changements relatifs au climat ou à la disponibilité de nourriture. En Amérique du Nord, les déplacements saisonniers s’effectuent généralement dans un rayon de 0,8 à 3,2 km des sites d’hivernage et de repos. Les mouvements migratoires d’individus issus des provinces ou des États situés à proximité du Québec, comme l’Ontario et New York, peuvent ainsi contribuer à la propagation de l’espèce dans la province.

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il y a 3 ans 4 semaines #10 par GuillC
Réponse de GuillC sur le sujet Dindons sauvages
Petite anecdote sur les dindons.

Un de mes amis avait été chasser le dindon plusieurs jour sur la terre de mes grands-parents, il n’en a pas vu un seul. La dernière journée en retournant chez lui, il en a fessé 2 avec son pickup sur l’autoroute 73 ??

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il y a 3 ans 4 semaines #11 par Rubrifolia
Réponse de Rubrifolia sur le sujet Dindons sauvages

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il y a 3 ans 4 semaines #12 par Cadey
Réponse de Cadey sur le sujet Dindons sauvages
Un ami est décédé l'été passé en frappant un de ses dindons en moto. 

Un chameau peut passer 3 jours sans boire, ....... mais qui a envie d’être un chameau !

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il y a 3 ans 4 semaines #13 par Liberté 55
Réponse de Liberté 55 sur le sujet Dindons sauvages

Cadey écrit: Un ami est décédé l'été passé en frappant un de ses dindons en moto. 

Elle est moins drôle celle-là...
On cherche parfois un sens à ce genre d'événement, mais il n'y en a pas vraiment.

Une vie à s'occuper des autres, une autre à faire des meubles!

Je suis dans la Rue, maintenant certain d'aimer cela!

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