Bon il faut que je pose la question

Bon et bien je me lance à mon tour mon grand père était menuisier mon père se débroullet avec tout et nous les 4 gars ont fesait du sport et quand ont ce mariais mon père nous montrais à peinturer nos logement .J'ai commencé à me débrouiller quand je me suis acheté un terrain dans le bois falait tout défricher aprendre la scie à chaine niveler un terrain et tout ce qui sans suit pour mettre ma roulotte .Par la suite aprendre à faire un cabanon et là les contrat de cabanon ont commencé.J'ai bâti ma maison je l'ai vendu acheté une centenaire et vendu aussi (tout rénové) déménagé à Legardeur me suis fait un petit atelier ha faut pas oublié la rencontre de notre ami Lemaillet là ça donné un coup pour la passion du bois .Donc aujourd'hui à la retraite 45 ans chauffeur de truck et toujour la même passion pour le bois .Aujourd'hui 2 ataliers la deuxième c'est par la force des chose hérité d'un tour à bois .Merci à Abel et Skydoo j'ai découvert autre chose.Lamortaise.com c'est toute une grande famille ou il fait bon de se retrouver

Bon selon les chiffres il y a plus de 10 000 utilisateurs, des visiteurs et des membres. Je ne pense pas battre des records, ce n'est pas mon objectif mais avouez que c'est tout de même super intéressant les récits de ceux et celles qui contribuent à alimenter cette discussion. Alors j'invite ceux et celles qui ne n'osent pas à vous aussi nous raconter qui vous êtes.

J'aime bien, très intéressant.

Bonne idée Ti-Guy.

Bien intéressent se fil Ti-Guy des Hauts.

Pour ma pare, je manipule le bois depuis ma petite enfance, fabrication de mes jouets a l'aide de canifs et les deux trois outils de mon père, marteau , vielle égoïne et une vielle varlope . Pour le bois, je le récupérais sur la plage , amener par la mer.
En se temps , je recevais des conseil d'un vieux mordues de poussière qui avais passer sa vie dans les chantier navale (aujourd’hui, je m’aperçois que mon grand père m'inculquais sont savoirs d'ébéniste navale). Hélasse le temps passe et on oublis beaucoup de choses.

Bref, plusieurs années plus tard et biens des aventures sur une coque de bois a travers l’atlantique, j’échoue sur la neige au que bec en 74. ayant peu de moyen, je me fabrique mes meubles a l'aide d'outils de très mauvaise qualité (je dirais comme beaucoup de mortaiseux, aujourd’hui, ses outils chips coûte la peau des fesses).
Au fil du temps, on affine plus nos projets et nos achats d'outils.

En 2008 mon atelier vois le jour , 16' par 24' (le garage) , un ans plus tard il et présentable et je m'inscris sur lamortaise .

Depuis se temps, de nombreux membres sont devenus pour moi de très bon amis .

Bon !!!super J'aime bien, idée très intéressant. Ti-Guy.


je vous revien la dessus ,et je vais bien a+

Moi je cosse le bois depuis ma plus tendre enfance .J,ai suis des cours a l,école il a déja beaucoup de temps de cela plus de 40 ans ,Je suis menuisier depuis toujours,
J,ai commencer dans ma cuisine ,apres atelier dans le sous sol et maintenant une plus grande atelier 27x32 d,ailleur pas fini de l,aménagé je viens juste de déménagé dans ma nouvelle demeure ,
Je me suis fait des bon amis avec la mortaise des passionnés du bois commme moi Besoin conseil on a juste a poser la question edt il a quelqu.un sur la mortaise qui a la reponse.

Dans mon cas, j'ai suivis un cours en fabrication de meuble en 1978 et toujours bricoler dans le bois . parcontre sur ce cour je suis tout particulièrement tomber amoureux du tour à bois qui fut avec le temp ma principale préoccupation . Je suis membre ATBQ et professeur accréditer, membre fondateur ATE membre et directeur de la corporation des métiers d'art(estrie). DEpuis près de 15 ans je suis de la famille des professionnels en tournage. voilà 4 ans j'ai eu la chance de suivre une formation chez Alain Mailland en France et aussi celle de cotoyer quelque grand tourneur reconnu internationale. Mais comme tout le monde j'en apprend encore beaucoup, et sa sera s'en fin

Moi c est le cancer qui m a amener a l ébenisterie, j ai eu deux cancer collés et au deuxieme j ai faillit y rester je suis aller toucher la poche du bon dieu un peu plus j y fesait une pipe le médecin m a arreter de travailler et il m a spécifier que mon espérance de vie était tres réduite. J ai repris du mieux et beaucoup, le spécialiste n en reviens pas ayant beaucoup de temps devant moi et n étant pas du genre a rien faire j ai décidé de suivre un cours de 2 ans comme aide ébeniste

J ai fait quelque meubles, table de chevet, banc de quéteux, armoire ne pin toute avec des technique différente. J ai ramasser ici et la de l équipement je suis en loyer mais j ai louer la cave ca m aide a faire des petits projets.

Je suis du genre touche a tous alors je bricole et j aime rire de toutes les situations que voulez vous je suis heureux d etre en vie .

ge c est pour Genevieve
ben c est pour Benoit
oli c est pour Olivier
mes trois grand enfants qui m ont donnés en plus 9 petit enfants .

Bon je suis un privéligié de la vie ,on pense que je suis mal chanceux ,mais au bout de compte c,est merveilleux,une perssonne ma traité de boème l'autre jour ,non!!!! artiste peut être je suis marié depuis 31 ans à mon premier amour ,j'ai eu deux enfants Jean-Michel ,et Marc-André,que j'ai vus grandir et faire un vie famillialle tous enssemble a la maison a cause de mon métier de sculpteur et ebéniste,j'ai été a l'école jusqua l'age de 14 ans et j'ai toujours été passioné pour les arts,
il mes t'arrivé des aventures un qui ma permis de vivre de merveilleux instants et de voir de la passion ,je suis venu sur la mortaise en 2008 c'a ma permis de me relever de vous lire si passionné

Merci gagne de mortaiseux ,la j'ai de la misaire a faire 4 petites pattes j'uste d'une main il me reste econre 3 tiges dans 2 doigt

bon je vous laisse un peu d'ou c'est parti Voila!!!



Michel Campeau
Notes biographiques
Née à Longueuil le 20 mars 1958 sa famille déménage à St-Hubert, ou il y demeure jusqu'à l’âge de 8ans, déménage par la suite à chamby.
Tout près de chez lui, coule une petite rivière. À l'âge de 8 ans avec un ensemble de 8 couteaux il a commencé à sculpter de petites pirogues de bois qu'il mettait à l’eau. Il quitte Chambly suite au décès de son père et il s'installe à Charlemagne avec sa mère ses deux sœurs et deux frères. C’est à cet endroit que ce goût pour la sculpture devient une passion. Michel aimait tout ce qui avait un rapport étroit avec la sculpture. Même les odeurs de brins de scie qui émanaient de l’atelier de son grand-père l’émerveillaient.
Tout jeune, il avait le sens des affaires. Il mettait ses sculptures en consignation à la Tabagie de la rue Notre-Dame à Charlemagne et dès qu'elles se vendaient, on l’appelait pour lui dire que le client était très satisfait. C'est à l'âge de 11 ans et avec ses économies qu'il achète ses premières gouges professionnelles: 11 ciseaux, 1 maillet, une râpe et un manuel d’instructions qu’il a toujours. À 15 ans, en juillet 1973, Michel Campeau exerça ses talents à l’Atelier Royal de Bois sculpté où il eut le privilège d’apprendre les secrets de l’affûtage et la sculpture avec un éminent sculpteur italien. Umberto Rossi. Il participa avec cette compagnie à l’exécution de sculptures au Parlement d’Ottawa : pour permettre la diffusion télévisée des débats parlementaires fédéraux, il créa et exécuta la sculpture de la mezzanine dans le pur style gothique de la Chambre des Communes afin de camoufler les caméras. Puis il débute à son compte.
Après l’incendie qui dévasta une partie de la chapelle du Sacré-Cœur de l’église Notre-Dame de Montréal, on fit appel à ses compétences pour recréer certains éléments détruits par le feu en 1978.
La compagnie Lavallin lui confia l’exécution de sculptures d’un monument pour l’Algérie. Puis il restaura les chapiteaux sculptés de la Maison Alcan, rue Sherbrooke Ouest à Montréal.
Il travailla ensuite pour la création de prototypes de jouets pour la compagnie Ritvik Méga Block. La compagnie Danesco.
Depuis 27 ans, il donne des cours de sculpture à son atelier et le nombre de ses élèves est toujours croissant. Récemment, il a découvert le plaisir de sculpter des oiseaux et se passionne particulièrement pour l’infinie variété et la beauté des canards.et d’oiseaux
Son enthousiasme, allié à son talent et à son désir de se surpasser lui permettent de réaliser des œuvres remarquables que les amateurs ont pu apprécier à la Galerie d’art Archambault de Lavaltrie.
M. Campeau a participé à plusieurs concours, comme le concours de canards à la Place Bonaventure de Montréal. Il a gagné le concours “ Best of shows ” en 1996. Il a aussi participé à plusieurs autres concours renommés. Il est président de l’Association des sculpteurs du chemin du Roi depuis 2002, membre de la mortaise, membre des artisans sculpteurs de Lanaudière.

Bon ! C'est à mon tour. C'est un peu intimidant d'écrire après Lemaillet.

Rien, mais là, absolument rien ne me pré-destinait à travailler le bois.
Pas de parents ou grands-parents bricoleurs. Quelques oncles dans la construction, mais dans le très "rough". Aucune personne de mon entourage ne m'a jamais parlé de bois. Et moi, je ne vivais que pour mes études et l'athlétisme.

Études en sciences infirmières et médecine à l'Université de Montréal dans les années 80.
Travail humanitaire (coopération internationale) en Haiti et République Dominicaine de 1990 à 1992. Je réalisais alors mon rêve d'enfance qui m'avait amené à étudier dans le domaine des sciences de la santé.

Je suis retournée aux études à la fin des années 90. J'ai fait une maitrise en théologie à l'Université Laval. J'ai ensuite obtenu des contrats de recherche et d'enseignement à la même université, puis un poste dans une commission scolaire en Outaouais.

Mais où et quand est donc apparu le bois dans ma vie ? J'y arrive.

En 2003, j'achète pour $48000 un chalet 4 saisons construit dans les années 70 en bordure de la Rivière des Outaouais. Il a grandement besoin de rénovations majeures. Mais quelques semaines plus tard, j'entre à l'hôpital et y resterai pendant 3 1/2 mois. Neuf anesthésies et neuf interventions au cerveau plus tard, je suis déclarée inapte au travail. Que faire de ma vie, du reste de ma vie alors que je n'ai que 38 ans ? Mon frère, un beau grand gars ben ben débrouillard, vient me donner un coup de main pendant ses vacances. Nous débutons les travaux de rénovations. J'achète certains outils, puis d'autres... et encore d'autres. Je poursuis les travaux seule pendant plus de 3 ans, au rythme permis par ma santé, c'est à dire à 3 vitesses: neutre, 1ère et parfois 2e. Les vitesses 3 à 6 sont bloquées ben raides!! Rien à faire ! Mon cerveau gèle. Quant à mon nez, il tombe sous le charme de l'odeur du bois scié. Et que dire de mes yeux qui n'ont de cesse de s'émerveiller et de briller devant la richesse des diverses essences ?!

Un jour, en cherchant des outils usagés sur internet, je tombe sur le site de La Mortaise. Je me mets à le consulter quotidiennement. Je lis tout et tous. J'apprend énormément et je ris des réparties des membres de cette communauté de passionné-e-s du bois et des outils. Je me mets à rêver de travailler le bois par pur plaisir. Je ne peux plus occuper un emploi, mais je peux encore me passionner. Je ne peux peut-être plus "produire" par un travail professionnel dans la société, mais je peux créer du beau autour de moi et pour les autres en travaillant le bois. J'ai besoin de faire quelque chose des années de vie qu'il me reste. Je décide de transformer une partie du sous-sol de notre duplex en atelier. J'ai déplacé des murs et portes, insonorisé plafond et murs, fait installer de nouvelles prises électriques et un évier, etc... J'ai encore pas mal de travail à faire, mais petit train va loin. J'essaie de passer le plus souvent et le plus longtemps possible à la 2e vitesse, mais mes foutus engrenages ont toujours tendance à me faire retomber au neutre. C'est mon état de santé et je dois le respecter.

Bref, je dirais qu'il existe entre le bois et moi une histoire d'amour tardive. Quand je vais, entre autres, chez Langevin Forest et que je "caresse" le bois, c'est fou mais... je frissonne. C'est vrai ! Je le jure ! Je pense qu'on va faire de beaux "rejetons" ensemble dans le secret de l'atelier. Je crois que le meilleur de notre histoire d'amour est à venir...
Il me reste à vivre une expérience un peu stressante, soit celle de rencontrer ma "belle-famille": la gang de La Mortaise.

J'ai beaucoup parlé, maintenant je dois créer.

Bidule65

Très émouvante ta présentation Bidule 65!

En partant ce sujet, Ti-Guy des Hauts, nous a rendu un grand service. Celui de connaître les membres sur un autre jour.

Petit, j'étais très doué pour l'école. Dès l'âge de quatre ans, j'étais classé comme "intellectuel", destiné à de grandes études et un métier où je travaillerais "avec ma tête". Dès que je m'intéressais aux professions "manuelles", je me faisais décourager et dire que ce n'était pas pour moi, que je gaspillais mes talents, etc. Résultat: J'ai passé les 30 premières années de ma vie à essayer de rentrer dans un moule dans lequel je ne "fite" pas.

Un jour, j'ai accompagné un ami qui aidait son père à construire sa maison. J'étais complètement ignorant et j'avais l'air d'un tata à côté de ces deux "pros". Mais ils ont su me mettre en confiance m'ont fait découvrir des aptitudes que je ne me soupçonnais pas. Puis ce fût le beau-pére qui me demanda de l'aider à construire son patio. C'est à ce moment que j'ai attrapé la piqure du travail manuel.

Pas longtemps après, je transformais une vieille caisse de bois en petite armoire pour ma blonde. Elle était très rudimentaire, mais elle l'aimait bien. Dix ans plus tard, elle y range toujours ses chandails de laine. Et moi j'ai troqué ma job de bureau pour le volant d'un dix roues.

Depuis, j'accumule les outils à mesure que mes moyens me le permettent. J'ai réalisé plusieurs petits projets, et une couple de plus gros. J'ai aussi fait plusieurs projets de rénovation sur notre maison ou pour des amis. Je suis autodidacte, avec l'aide de La Mortaise et de quelques livres. Cette année, nous construisons un nouveau garage neuf dont une partie sera mon atelier. Ça va me permettre de sortir de mon racoin mal organisé dans la cave et d'attaquer de nouveaux défis.

Je ne pense pas un jour gagner ma vie avec l'ébénisterie, mais je sais que ça fera toujours partie de ma vie.

mseguin écrit: Je travail le bois depuis 5 ans environ.
Je tourne depuis 2.5 ans
Loisir
Garage - atelier, j'y mets ma van.

Et moi aussi je réussi 60% de ce que je fais.

Après avoir lu ce que les autres ont écris, je sens le besoin de mettre un peu plus de viande sur ma première réponse.

Informaticien de métier depuis maintenant 24 ans, j'ai toujours été un breteux curieux sur comment les choses se font au niveau d'une maison. Je fais de l'électricité chez moi depuis toujours. Par contre, coté finition, mes anciens projets était vraiment mal fait. Il suffit de venir chez moi pour le constater. Même que ma femme fait encore la blague qu'il ne faut pas déplacer les cadres car ils cachent des défauts (C'est plus vrai).

Au travail, il y a 5 ans environ, un collègue me parle qu'il s'est acheté une scie a onglet et qu'il adore ça car il peut maintenant faire plein de chose avec. N'en n'ayant pas, je m'en achète une sans vraiment savoir ce que je vais faire avec. Le mois suivant, on décide de s'acheter une armoire pour mettre dans le passage. On ne trouve pas ce qu'on veut et par hasard, je passe chez Home Dépôt et y voit du pin laminé (emballé dans du cellophane). Je lui dit que je vais la faire avec ma nouvelle scie et mon mini banc de scie. Elle me dit oui. Si elle aurait su ce que ça a déclenché, pas sur qu'elle me redirait oui encore.

Bref, beaucoup d'outil plus tard, une formation en ébénisterie dans une école privé et un tour à bois en plus. Je fais maintenant environ 100 à 200 stylos par année, des meubles pour des clients et pour nous. Je ne pense pas arrêter mon métier pour l'ébénisterie car le salaire ne se compare pas mais à 55 ans j'aimerais bien travailler en info 3 jours semaine et le reste dans l'atelier. Et si c'est pas le cas, de toute façon, je prépare ma retraite.

Voici le 1er meuble que j'ai fais et la banc de scie de l'époque.

Je me compare un peu à un intrus parmi vous autres, qui chérissiez si passionnément le bois.

Ma passion actuelle est la remise en marche de vieil outil et beaucoup de bricolage pour la maison et les amis, cela me laisse pour les prochaines années peu de temps pour l’apprentissage de l’ébénisterie.

Par contre, je rêve encore de construire une belle chaise berçante, un établi de travail en bois et combien d’autres beaux projets reliés à l’ébénisterie!
J’ai découvert le site la Mortaise en 2007 par hasard, je cherchais les proportions à donner pour tailler un assemblage tenon et mortaise. Après quelques années à vous lire anonymement, je me suis inscrit pour m’investir et créer des liens avec les Mortaiseux, être membre du RAOC me définit bien aussi.

Avec ses 18 x 24, attachés à la maison, l’atelier avec les années s’est transformé en un genre d’hybride entre l’acier et le bois. Elle est en constante mouvance en fonction des types de projet que je réalise et des outils qui y transitent, car j’aime appeler mon atelier l’orphelinat des outils maltraité et abandonner.

Mon parcours professionnel se résume à une formation collégiale en fabrication mécanique, concepteur d’équipement industriel, chargé de projet, propriétaire d’entreprise et depuis peu gestionnaire pour une cie en pleine expansion dans les équipements lourds.

Aussi jeune que je me souvienne, j’ai baigné dans la mécanique avec la complicité de mon père, qui lui aussi l’a fait avec son père! C’est de famille quoi! Et le plus drôle dans tout cela, mon grand-père avais un atelier de bois dans son sous-sol et mon père aussi!

Norinox