Questions à propos des planchers de bois francs?
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Ce matin j'suis allé voir les anciennes conduites d'eau du Moulin Patterson pour m'apercevoir qu'elles ont été récupérées en partie par la ville de Québec au haut de la falaise pour son aqueduc et réservoir d'eau souterrain.
Quand on s'y met ça devient aussi passionnant que la généalogie.
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- Riflard
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Concernant le moulin Patterson, existe-t-il encore quelque chose? Ça pourrait faire une belle sortie à la blonde et moi.
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- Rpoulin
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riflard écrit: Vous avez réussi à aller consulter l'acte sur le registre foncier? Eh bien, bravo et chapeau. Moi, la première fois que je suis allé sur ce site pour pouvoir remonter jusqu'au premier propriétaire, j'ai eu une de ses misères. Obligé d'appeler le service à la clientèle du Cadastre pour me faire expliquer certains trucs.
Concernant le moulin Patterson, existe-t-il encore quelque chose? Ça pourrait faire une belle sortie à la blonde et moi.
Oui réussi mais pas exactement facile, déjà le vendredi d'avant j'ai pu contacter un responsable qui m'a un peu guidé.
Pour le moulin Patterson, malheureusement c'est tout rasé, il ne reste que les vestiges des conduites en haut de la falaise et peut-être quelques structures de béton au bas. Le ministère a identifié le site comme site archéologique potentiel mais je ne suis pas au courant des détails à ce propos.
Sur une photo datant de 1935 on peut encore voir les bâtiments de cette scierie quand même assez imposante au pied de la falaise entre la chute Montmorency et la petite chute de la Dame Blanche à gauche, c'est en en arrière et à gauche du GROS bâtiment de la Dominion Textile lui même maintenant démoli. On y voit aussi ma maison en haut à gauche, près de la ligne du tramway qui fait une boucle à cet endroit près de la rue Royale. Tout le secteur est vide de maisons!!! Maintenant c'est cordé comme des sardines.
A droite de la photo, haut de la falaise et sud de la rue Royale on voit deux maisons côte à côte dans le champ. Elles datent début des années 1700. J'en avait visité une qui était à vendre il y a 20 ans (celle le plus à droite) et c'était un bijou, retour garanti dans le temps, le haut intact, d'une seule pièce non divisée, était encore rempli de foin et de vieux instruments oratoires. Maintenant ces maisons sont littéralement noyées dans une mer de cottages de luxe simili-riches. Boischatel a erré dans son développement résidentiel sur ce lieu historique qui était de toute beauté.
Une copie de la photo originale 1935 .
Autre document intéressant: photo mosaïque immense de Québec 1948 par Université Laval.
(En 48 y a encore des vestiges du moulin!)
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- Riflard
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Ancestral écrit:
rpoulin écrit: J'me demande, existe-il une description détaillée de cette structure faite de madriers en pièces horizontales (en 3x3 ou semblable) assemblées en tenons dans des poteaux verticaux à coulisses, comme le décrit Ancestral? On en parle rapidement dans le livre de Lessard pour une maison construite en 1870 à Québec mais sans plus, pas d'illustrations ou photos.
À ma connaissance, ce type de structure est très peu documenté. Cependant, ma propre maison (milieu du 19e, comté de Portneuf) est construite selon ce même principe... Je connais donc très bien cette façon ancienne de bâtir pour avoir travailler des milliers d'heures sur ma maison depuis plusieurs années... Un projet de longue haleine!!!
Je peux décrire les techniques et les assemblages employés chez moi, au besoin, si cela peut t'éclairer sur certains points! Par contre, les influences régionales sont assez importantes dans les techniques de menuiserie (techniques d'assemblage et types de carré de pièces et charpentes de toit) du 17 au 19e siècle.
Au plaisir,
Ancestral
En fouillant dans ma bibliothèque, j'ai trouvé autres sources sur la construction avec des madriers.
La première est disponible sur le site de Ruralys. Il s'agit d'un document très court (2 pages) qui résume et illustre différentes structures en bois. www.ruralys.org/pdf/PDF_reno/3-iso_fond.pdf. Je vous invite à consulter d'ailleurs à visiter leur site : très intéressant.
La deuxième source provient du livre de Georges Gauthier-Larouche : Évolution de la maison traditionnelle dans la région de Québec. Les Presses de l'Université Laval. 1974. 321 pages.
L'auteur mentionne différentes structures en madrier :
a) des madriers sont empilés entre deux poteaux à coulisse (poteau=poutre debout). Ça correspond à ce que Ancestral décrit.
Une rainure (coulisse) peu profonde d'environ deux pouces est creusée dans les poteaux. Le but serait de conserver la force des poteaux lorsque le poteau divise un mur en deux. Si deux rainures qui se font face sont très profondes, le poteau perd de la force. M. Gauthier-Larouche ajoute que les madriers ont 5-6 pouces d'épais. Il s'agirait d'une technique utilisée au 17e et 18e siècle. (résumé de la page 85 de son livre).
b) des madriers sont empilés sur le plat, mais il n'y a pas de poteaux à coulisse. À la page 88, l'auteur écrit que « la technique de construction de la maison de bois s'est sans doute diversifiée au XIXe siècle, mais nous ne pouvons nous en faire une idée claire pour la simple raison que leur bâti est caché par un revêtement extérieur. Un informateur de Château-Richer m'a néanmoins assuré que sa maison était construite de madriers empilés sur le plat ; ses murs ont douze pouces d'épaisseur, en comptant le revêtement intérieur. La manière de les empiler varie en fonction de l'imagination créatrice des menuisiers qui ne cessent d'améliorer la construction. Je me suis laissé dire que les madriers sur le plat sont retenus par piles au moyen d'une barre de bois ou de fer enfoncée dans des orifices pratiquées ici et là dans la pile de madriers. »
L'auteur n'explique pas pour cette technique comment les madriers sont assemblés dans les coins. Mais juste avant, il présente une autre technique : le pièce sur pièce à queue d'aronde (qui est aussi une méthode sans poteaux à coulisse). Doit-on comprendre que les madriers empilés sur le plat sans poteaux à coulisse sont eux aussi assemblés à queue d'aronde dans les coins? À mon avis, ça prend une certaine épaisseur pour faire un assemblage à queue d'aronde. Si les madriers ont disons trois pouces d'épais, est-ce suffisant pour tailler des queues? J'ai des doutes.
c) des madriers sont déposés sur le champ (chant ou cant), mais il n'y a pas non plus de poteaux de coulisse. Pas plus de détails sont donnés, sinon que c'est une autre technique de construction n'utilisant pas de poteaux à coulisse. Sur un dessin à la page 95, l'auteur montre un madrier de 3 pouces d'épais sur 8 pouces de haut. Aucun renseignement sur la façon dont les madriers sont assemblés dans les coins.
Finalement, RPoulin, si vous faites le curetage des murs extérieurs de votre maison pour vous rendre jusqu’au madrier, tenez-nous au courant sur la manière dont tout ça tient ensemble.
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J’ai eu beau fouillé dans ma bibliothèque, rien trouvé, mais j’ai peut-être mal cherché. Je sais qu’au moins un livre, dont j’oublie le nom, a été écrit sur les moulins.
Mais bon, en attendant, j’ai trouvé sur Internet, plus précisément sur le site de « Dictionnaire biographique du Canada en ligne » une biographie sur Henry Usborne, un individu ayant été propriétaire de moulins, dont celui au pied de la chute Montmorency (biographi.ca/009004-119.01-f.php?id_nbr=3704), et dont je recopie un passage intéressant :
« Sous sa gestion, les affaires d’Usborne au Bas-Canada connurent une croissance encore plus rapide qu’auparavant, surtout à compter de 1811, où il acheta de John Goudie et de Henry Black une grosse scierie en construction à la chute Montmorency, près de Québec. Par la suite, grâce au capital et à l’assistance d’Usborne, Patterson agrandit la propriété en faisant d’autres achats et la rendit, selon un spécialiste américain qui la visita, « probablement aussi imposante que toute autre au monde ». Les moulins étaient alimentés, du haut de la chute, par un grand bief en zigzag, creusé dans le roc et bordé de bois, ce qui explique qu’ils aient été parmi les plus coûteux à avoir été construits jusque-là dans le Bas et le Haut-Canada. Dès le début, ces moulins comptèrent plusieurs scies circulaires, apparemment les premières au Bas-Canada. Patterson étendit également les opérations d’abattage, de construction de navires et de transport maritime de la compagnie. »
Quelle belle surprise, surtout que je croyais que l’arrivée des scies circulaires dans les moulins dataient du milieu du 19e siècle.
Si les madriers de votre maison proviennent de ce moulin, la date de construction de votre maison est après 1811.
Par ailleurs, j’ai trouvé sur Wikipedia un article sur le « Parc de la chute-Montmorency » (fr.wikipedia.org/wiki/Parc_de_la_Chute-Montmorency).
Voici ce qu’on trouve dans la partie historique :
« En 1811, Peter Patterson et son partenaire d’affaire, Henry Usborne, achetèrent des terrains dans les environs de la chute Montmorency. Patterson acheta la Haldimand House (le Manoir) et en fit sa résidence principale en 1815. En 1823, l'union de Patterson et Usborne fut dissoute, mais la Patterson and Company continua son expansion dans Montmorency pour devenir un des plus grands moulins à scies du Commonwealth. L'entreprise fut reprise par la suite par George BensonHall, gendre de Peter Patterson, et continua d'être un des principaux moteurs économique de la région jusqu'à sa fermeture en 1892. »
Encore là, si les madriers de votre maison proviennent de ce moulin, la date de construction de votre maison est avant ou autour de 1892.
En combinant ces deux dates (1811 et 1892) et ce que vous allez trouver en fouillant sur les Archives nationales du Québec, le registre foncier et les autres sources que je vous ai données, vous devriez être en mesure de mieux estimer la date de construction de votre maison.
Continuez à nous informer. Je crois que ça en intéresse plus d'un sur la Mortaise.
Bonne continuation de recherche !
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- Rpoulin
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A mon grand étonnement, parce que jamais personne ne m'en a parlé (ville ou notaire), j'ai appris vendredi dernier que ma maison est sur une liste de sites et biens du patrimoine culturel du Québec à protéger (depuis 2008). La maison ne serait pas à l'origine un 'chalet' comme je le croyais, mais une menuiserie-remise utilisée pour l'entretien des conduites d'eau et de toute apparence construite par des employés de la scierie Patterson (ou Benson). J'en saurai plus bientôt mais il me semble que la documentation est pauvre!
Une section de la conduite au dessus de la Chute:
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- El patenteu
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si c'est protégé.
vynil interdit (entre autres)
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- Rpoulin
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el patenteu écrit: fait bien attention a ce que tu vas faire comme entretiens/restauration sur l'extérieur de la batisse parce que tu vas te faire tapper sur les doigts
si c'est protégé.
vynil interdit (entre autres)
Oui oui J'ai su pour la maison quand j'ai appelé la ville pour m'informer d'un éventuel permis de construction (ou plutôt rénovation). Mais le type n'avait renseignement à me donner sur la raison exacte et quoi protéger. Je vais m'informer cette semaine. Merci.
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- Doum
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C'est le fun de voir qu'il y a des mortaiseux pas trop loin de moi héhé.
J'habite dans le nord de Boischatel, mais je suis originaire de L'Ange-Gardien.
@+
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- Riflard
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rpoulin écrit: Merci encore riflard.
A mon grand étonnement, parce que jamais personne ne m'en a parlé (ville ou notaire), j'ai appris vendredi dernier que ma maison est sur une liste de sites et biens du patrimoine culturel du Québec à protéger (depuis 2008). La maison ne serait pas à l'origine un 'chalet' comme je le croyais, mais une menuiserie-remise utilisée pour l'entretien des conduites d'eau et de toute apparence construite par des employés de la scierie Patterson (ou Benson). J'en saurai plus bientôt mais il me semble que la documentation est pauvre!
Spécial de voir cette conduite d’eau en pleine nature enjamber ce ruisseau. Merci pour la photo.
Je reviens sur votre maison. Vous dites qu’elle est sur une liste à protéger. Si elle est sur cette liste, c’est que votre maison ou le lieu est fort important et donc qu'il y a de la documentation sur le sujet. En cherchant sur le site du ministère de la Culture, j’ai trouvé ça sur le répertoire du patrimoine culturel du Québec. www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/RPCQ/...OngletId=detailPopup
De la façon dont vous décrivez votre maison, ça y ressemble étrangement. Si c’est effectivement le cas, je vérifierais plutôt avec le ministère de la Culture pour de plus amples détails. En 1994, toujours selon ce répertoire, le ministère a classé le site historique de la chute Montmorency. Il y aurait 35 biens associées à ce classement. www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/RPCQ/...nsulter&bienId=93580
Que la ville ne sache pas, ça ne me surprend pas si c’est le ministère qui a protégé votre maison. Ce dont je ne m’explique pas toutefois, c’est pourquoi votre notaire ne vous ait rien dit (évidemment, si ce que j’ai trouvé correspond à votre maison).
Vérifiez avec le ministère de la Culture, direction régionale Capitale-Nationale. Vous devriez avoir l’heure juste.
Et si votre maison est protégée, comme l’a écrit El Patenteu, oubliez le vinyle (mais je ne crois pas à travers tout ce que vous avez écrit que vous vouliez mettre du vinyle ou du canexel sur votre maison).
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- El patenteu
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le type de fenestration le type de revetement ,de matériaux etc etc....
RIEN ne doit etre laisser au hasard.je me demmande meme si en plus de refaire des chassis a petit carraux identique a ce qui étais la, si en plus ca ne doit pas etre fait au mastic.....exemple.
a l'intérieur tu peut faire ce que tu veut mais pas a l'extérieur.
du moin pour les belles de mon coin.
beau projet,et quel coin magnifique!!
Fred
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- Riflard
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el patenteu écrit: je parlais de revetement de vinyl mais ce n'est qu'une évidence.
le type de fenestration le type de revetement ,de matériaux etc etc....
RIEN ne doit etre laisser au hasard.je me demmande meme si en plus de refaire des chassis a petit carraux identique a ce qui étais la, si en plus ca ne doit pas etre fait au mastic.....exemple.
a l'intérieur tu peut faire ce que tu veut mais pas a l'extérieur.
du moin pour les belles de mon coin.
beau projet,et quel coin magnifique!!
Fred
Ça dépend quel est le statut de protection de la maison. Une maison dite "classée" est protégée mur à mur, intérieur et extérieur. Il n'y a que le ministère de la Culture qui peut classer un bien.
Il y aussi les arrodissements historiques (Beauport en a un) qui sont soumis à d'autres règles.
Il y a égalament les biens cités. Ça, je connais, car notre maison à ma conjointe et moi est citée à titre de monument historique. Dans une maison citée, seul l'extérieur est protégé. Cette protection, c'est la municipalité où est situé le bien qui détient ce pouvoir. Ce n'est pas du ressort du ministère. Et tu as raison El Pateneu, ça touche tout l'extérieur: le revêtement, la toiture, la forme de la maison, la quincaillerie des portes et fenêtres, les couleurs de la maison, etc. Par contre, tu es admissible à des subventions de la part du ministère, si tu fais faire. Si c'est toi qui réalises les travaux, ce n'est pas admissible.
Pour le mastic, je ne sais pas. Mais ça m'importe peu, car je prends de toute façon du mastic pour calfeutrer les carreaux de vitres des fenêtres.
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- Rpoulin
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Par ailleurs, en mettant tous les documents notariés que j'ai en ordre chronologique, on s'aperçoit que la maison et/ou terrain en tout ou partie ont tour à tour appartenu à Patterson (scierie originale - 1820 environ jusqu'en 1851), Benson ou Benson-Hall (scierie diversifiée - jusqu'en 1885 puis succession Hall), Charles Whitehead (Dominion Cotton Mills, Dominion Textile) entre 1901 et 1905, Quebec Railway Light and Power (jusqu'en 1923), l'individu Mathieu (après 1923)...
Pour la scierie, le moulin au pied de la Chute de la Dame Blanche comptait 81 scies en 1829, donc 11 étaient circulaires (scies d'environ 2 à 3 pieds de diamètre).
Quelques photos des années 1850-1880 - à partir de 1851 environ - crise économique en Angleterre - la scierie cesse d'y envoyer du bois pour la construction de navires, désormais on coupe le bois en madriers et poutres pour la construction domestique locale principalement (période Benson-Hall):
La scierie au pied de la chute:
La cour à bois - madriers et poutres:
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