INSCRIPTIONS Journée LaMortaise 2018
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Belga écrit:
Newshop écrit:
Belga écrit:
Newshop écrit: Étant nouveau et appréciant votre site, j'aurais bien aimé participer... votre journée se tient le weekend de la fête de ma femme et de ma mère.
Disons que ça tombe mal.
Ça ne tombe pas mal du tout, emmène-les avec toi à la Grande Journée, nous allons les fêter en grand !!!
Si elles m'accompagnent, je ne pourrai pas placer un mot...
Ce sera pour une prochaine fois.
On ne t'a pas demandé de parler non plus !!!
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- Casunique
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Bon bain…Il semble bien qu’à moins de deux semaines de l’évènement il y en a qui branle dans le manche …
Il est pourtant encore temps de vous inscrire
D’ailleurs à propos de manche… Saviez-vous que…Le rouleau à peinture aurait été inventé par un Canadien?
En effet, c’est le Torontois Norman James Breaky qui en a eu l’idée peu avant sa mort en 1940. ( Il était né le 25 février 1891 à Pierson, Manitoba. )
Il n’a cependant jamais pu produire son invention en assez large quantité pour en tirer profit, faute d’investisseurs ayant foi en son produit.
Et… alors qu’il faisait la promotion de son produit auprès des quincailleries et des peintres, il a négligé de faire breveter son invention.
Durant ce temps, au sud de la frontière, un ingénieur du nom de Richard Croxton Adams ( un descendant de deux présidents américains ) obtenait un brevet américain, affirmant qu’il avait développé cette invention dans son sous-sol alors qu’il travaillait pour la compagnie Sherwin Williams…
Morale de cette histoire : même en matière de peinture, il faut être prudent pour éviter de se faire rouler…surtout lorsqu’un ingénieur est dans les parages
Il ne reste que 11 dodos avant la journée LaMortaise du 5 Mai prochain
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- Tournicoti
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Le respect de la ressource forestière, est de fabriquer des objets qui dureront aussi longtemps que l'arbre qui a vécu avant de nous donner son bois...
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- Casunique
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Plus que 8 mois avant Noël…avez-vous pensé à mon cadeau?
La tragédie de lundi dernier à Toronto laisse à réfléchir..Il nous faut profiter de chacun des instants de notre vie, car , parfois, il suffit de peu pour que nos existences sur cette terre prennent fin en moins de quelques secondes…
D'ailleurs, certains l'ont malheureusement expérimenté le 15 janvier 1919, juste après la Première Guerre mondiale, alors que la ville de Boston a connu une bien étrange tragédie..
Le secteur nord de la ville fut en effet frappé par une immense vague de mélasse, qui provoqua la mort de 21 personnes, et entraîna conséquemment une importante enquête légale…
Comme vous le savez, la mélasse est obtenue par le raffinage de la sève de la canne à sucre et ce produit était très pratique au début du 20e siècle dans les procédés de distillation d’alcool,et plus particulièrement dans celui du rhum.
Voilà pourquoi la Purity Distilling Company avait fait construire en 1915 une immense citerne de mélasse à Boston, pour avoir le précieux produit sous la main en grande quantité pour la fabrication d’alcool.
La citerne en question était gigantesque! Elle mesurait 15 mètres de hauteur et avait 27 mètres de diamètre.
Le jour de la tragédie, elle était remplie à pleine capacité avec quelque 2,3 millions de gallons de mélasse de Porto Rico.
Un peu après midi le 15 janvier 1919, les habitants du secteur ont rapporté avoir entendu un immense vacarme, comme des coups de feu…
Il s’agissait en réalité des boulons de la citerne qui étaient en train de céder et la citerne s’éventra, déversant son contenu dans ce coin de la ville de Boston.
Une immense vague estimée entre 2,5 et 4 mètres de hauteur a déferlée dans le quartier à une vitesse et une pression suffisante pour soulever un train et endommager des rails de chemin de fer!
Les journaux ont rapidement rapporté les histoires des personnes blessées et des 21 personnes décédées des suites de cet accident.
Des journaux comme le Boston Post et le Boston Globe rapportèrent entre autres la mort du jeune Pasquale Lantosca, seulement âgé de 10 ans et qui a péri en étant atteint par un wagon de train… ou l’histoire de Walter Merrithew, un employé de chemin de fer soulevé de plus d’un mètre par la vague et projeté contre un mur.
Les quotidiens de l’époque rapportèrent aussi la noyade de plusieurs personnes et selon les témoins, de quelques chevaux.
21 morts, 150 blessés et plus de 100 millions de dollars en dommages estimés, il n’en fallait pas plus pour qu’une longue enquête s’amorce afin d’élucider les circonstances de cette étrange tragédie.
La citerne n’avait que trois ans et son effondrement était surprenant.
L’enquête révéla qu’aucun test, notamment avec de l’eau, n’avait été effectué au préalable, puisqu’un chargement de mélasse arrivait éminemment.
L’acier n’était probablement pas de bonne qualité, ce qui, jumelé au fait que la citerne était à pleine capacité, explique en partie l’accident.
La construction de la citerne en général s’était de plus réalisée dans la hâte.
Nettoyer la mélasse fut aussi une tâche colossale et les gens chargés de dégager la masse gluante des rues et des bâtiments réalisèrent que l’eau salée était relativement efficace pour décoller cette mélasse séchée un peu partout.
Les habitants de ce secteur de Boston ont par ailleurs longtemps affirmé que lors des journées de grandes chaleurs, une odeur de mélasse flottait encore dans l’air quelques décennies après la tragédie
Mais ce qui serait aussi très tragique ce serait de vous priver de participer à la journée LaMortaise du 5 mai prochain…S’inscrire serait une sucrée de bonne idée
Il ne reste que 10 dodos...
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- Casunique
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Il ne reste que 9 dodos
Avec toute cette pluie reçue, l’hiver semble derrière nous pour de bon.
À moins de 10 jours de l’évènement LA journée LaMortaise, qui réunira amoureux du bois et patenteux de toute nature, laissez-moi mettre en lumière une invention d’un de nos compatriotes.
Vous arrive-t-il de devoir toujours être prêt à répondre à l’appel, même lorsque débordé au milieu des bordées ? Voici l’invention qui vous permet de souffler un peu.
Saviez-vous que…le souffleur à neige a été inventé en 1925 par le Montréalais Arthur SICARD né le 17 décembre 1876 à Saint-Léonard ?
( Saint-Léonard, autrefois connu sous le nom de Saint-Léonard-de-Port-Maurice, rappelant ainsi la mémoire de Léonard CHAIGNEAU, sulpicien arrivé au Canada en 1688 )
M. Sicard , travaillant à la ferme laitière de son père et étant responsable de la livraison aux clients, cherchait à alléger sa lourde tâche du transport du lait durant la saison où les routes étaient enneigées. Inspiré par la moissonneuse à lame rotative d’un voisin, il songea à appliquer le même principe pour l’enlèvement de la neige.
En 1927, il vendit sa première déneigeuse et souffleuse à neige Sicard à la ville d’ Outremont.
Cette première souffleuse à ventilateur autopropulsée se trouve maintenant dans un entrepôt du Musée des sciences et des Technologies d’ Ottawa.
L’engin est composé du châssis d'un camion à quatre roues motrices et d’un moteur de camion, ainsi que d’une tête de souffleuse, munie d’un moteur indépendant avec deux cheminées ajustables. Cette invention permettait à l'opérateur de projeter la neige molle, dure ou compacte à plus de 85 pieds de la souffleuse ou directement à l'arrière du camion. Construite robustement, on retrouve encore de nombreuses unités originales de Sicard en opération à travers le monde.
Arthur Sicard fut le fondateur d’ Industries Sicard, situé à Sainte-Thérèse qui fut acheté plus tard par SMI-Snowblast de Watertown NY. Cette compagnie détient toujours une filiale canadienne Groupe Sicard SSI située à Lac-Brome-Knowlton.
M. Sicard est décédé le 13 septembre 1946. Il n’aura donc pas assisté à la venue de nos petites souffleuses domestiques entrées sur le marché en 1952. Introduites par la compagnie TORO, elles nous permettent maintenant de faire à notre tour nos entrées et de faciliter ainsi nos sorties.
Nous pourrions donc comprendre que l’innovation passe souvent par notre volonté de diminuer notre labeur. Et certains pourraient affirmer que « La paresse fait reculer les limites de l’impossible »
Mais…n’en souffler mot à personne, cela pourrait créer divers froids, les vertus de la paresse étant parfois méconnues. Même en matière de bancs de neige , c’est ainsi qu’on gère aujourd’hui…
allez...
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- Abel
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Pour notre part, nous devons confirmer le nombre de personnes en début de semaine...
SVP, ne tardez pas trop
Les arbres sont comme les personnes agées...aucun ne veut finir dans un foyer.
ABEL
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BikerCarver écrit: je voudrais réserver une place pour moi svp
Je suis un ami de Michel le Maillet et de Slycer
Je vais t'inscrire mais tu dois mettre ta localité dans ton profil
Bienvenue parmi nous
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- Planeur
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Changement au programme, je ne pourrai profiter de vos talents et jasettes cette année . !
À l'an prochain!
planeur
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Avec du duct tape tout est possible......sauf coller des bandes abrasives....
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- Planeur
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Renovaideur écrit: Quoi..... Pu capab.....on cancelle.......moi qui avais si hâte de te revoir.........c’est mieux d’estre Sérieux.....
Tu voulais avoir ta quote part de mes transactions.....! Un jour un jour....
Désolé Réno suis sûr que tu t'en rendras même pas compte .... avec tout ce que tu auras à faire!
planeur
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- Casunique
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ATTENTION : les inscriptions seront bientôt fermées…Dépêchez-vous avant qu’il soit trop tard.
Vous êtes fatigués, irrités, vous en arrachez et avez envie de lancer votre marteau au bout de vos bras ? Pourquoi ne pas prendre du temps relax en venant côtoyer vos ami(e)s Mortaiseux le samedi 5 mai prochain ?
Parlant de lancer votre marteau, connaissez-vous Étienne Desmarteau? ,
Lorsqu’on parle d’hommes forts au Québec, on pense tout de suite au légendaire Louis Cyr. Mais d’autres poids lourds ont aussi mérité leur place dans l’histoire! C’est le cas d’Étienne Desmarteau, né le 4 février 1873 à Boucherville.
En plus d’exceller au lancer du marteau, il remporta le championnat canadien au lancer du poids de 56 livres en 1902-1903.
Le 1er septembre 1904, ce policier de Montréal remporta l’épreuve du lancer du poids aux Jeux olympiques de Saint-Louis et devint ainsi le premier athlète médaillé d’or de l’histoire du Québec et du Canada!
Le 2 septembre, le quotidien montréalais "La Patrie" titre : « M. Étienne Desmarteau, champion du monde ».
Et de préciser : « Le Canadien français gagne ce titre honorifique avec facilité ».
Il faut préciser que journaux de l’époque ne sont pas encore très coutumiers avec les Jeux olympiques, les jeux de Saint-Louis n’étant que les 3e de l’ère moderne des jeux.
Étienne Desmarteau fracassera aussi le record du monde du lancer du marteau.
Malheureusement, malgré sa force herculéenne, le titan de 6 pieds 208 livres ne survivra pas à une fièvre typhoïde foudroyante qui l’emporta l’année suivante le 29 octobre 1905. Il n’avait que 32 ans.
Pour les amateurs de généalogie, sachez qu'Étienne Desmarteau descend du maréchal-ferrant Étienne Birtz, qui héritera du surnom de «Desmarteau» à cause de son métier.
Si vous avez trouvé cette petite histoire passablement endormante, profitez-en car ,il ne reste que 8 dodos avant la Journée du 5 mai prochain.
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- Toxedo_2000
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La modération a bien meilleur goût, sauf pour le vin ! Et la bière !... Et les outils! Hahaaaa
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