Patrbell

De belles grange/étable au Québec, il y en a plus beaucoup. En Beauce on peux voir encore des granges/étable ronde.

Effectivement Oldtimers , beaucoup des grandes étables ont été détruite. On a réussi ici a St Fabien a conserver une grange octogonale des années 1800. Ma mère et un de mes oncles ont fait plein de bénévolat pour réussir a la conserver. Elle a 3 ponts . Les animaux avaient l'eau dans des auges en bois. L'été passé une belle grosse grange a deux ponts a été démolie dans une paroisse pas loin. Il y avait une moissonneuse lieuse de 1902 et la batteuse stationnaire a l'intérieur. J'ai pu les récupérer pour les conserver.

Oldtimers écrit:

De belles grange/étable au Québec, il y en a plus beaucoup. En Beauce on peux voir encore des granges/étable ronde.

Il y en a aussi de très belles en Outaouais.

L'Outaouais est un coin que je n'ai pas eu la chance d'exploré encore, c'est bon de savoir. Je pourrais y faire du camping l'an prochain et découvrir ce coin un peu mieux. Merci Liberté.

Oldtimers écrit:

L'Outaouais est un coin que je n'ai pas eu la chance d'exploré encore, c'est bon de savoir. Je pourrais y faire du camping l'an prochain et découvrir ce coin un peu mieux. Merci Liberté.

Si tu prends la 148 le long de la rivière des Outaouais, tu en verras quelques-unes. Sinon, fais-moi signe avant d'y aller, je fouillerai dans mes souvenirs pour des suggestions de terrain de camping et d'endroits pour voir de belles granges.

Effectivement dans mes voyages a Ottawa j'en ai remarqué un peu des étables bien conservés. Petit tour de motoneige aujourd'hui pour tracer un bout de sentier . Deux arbres sec de tombé dans le sentier a cause des forts vents. Demain j'espère me rendre a la cabane. J'ai compris aujourd'hui que les autochtones n'avaient pas tellement besoin de préparer leur bois de chauffage pour passer l'hiver. Dans une forêt naturelle normale non surexploité il y a toujours des arbres morts et sec. C'est plus rare maintenant. J'ai rapporté des branches de sapins a la maison pour décorer et pour la bonne senteur.

Les collectivités autochtones on toujours été très nomade dans la période hivernal pour la facilité des déplacement en foret, ils était aussi d'une très bonne organisation sociale toujours à l'affut de leur ressource alimentaire qui leur demandait des fois de long déplacement pour les suivre ou les atteindre.  

J'imagine très mal de les voir se déplacer avec deux ou trois corde de bois avec eux Hi hi hi

Toxedo, je ne veux pas brûler ton histoire, c'est celle qui se passe en 1936.

Merci Liberté, c'est vrai que quand je vais dans ce coin-la je prends toujours la 50 et disons que tu ne voie pas grand chose.

ici avec 7 pieds de neige au sol ,il y a des semaines ou ils étaient moins nomade. Ils vivaient les gros mois d'hiver bien campé dans des cabanes longues. Les hommes partaient chasser mais les autres restaient a leur campement.

Patrbell écrit:

ici avec 7 pieds de neige au sol ,il y a des semaines ou ils étaient moins nomade. Ils vivaient les gros mois d'hiver bien campé dans des cabanes longues. Les hommes partaient chasser mais les autres restaient a leur campement.

Pas seulement chez-vous Patrbell. Je viens de terminer le livre "Kukum" de Michel Jean, un Innu de Mashteuiatsh au Lac St-Jean. La notion de nomadisme chez ces Innus signifiait qu'ils passaient l'été sur le bord du lac (Pekuakami) et qu'ils regagnaient leur territoire de chasse pour l'hiver. Ce territoire était toujours le même de génération en génération, sauf exception... et jusqu'au début de l'exploitation à outrance de la forêt qui leur a ravit leur mode de vie et leur dignité.
Un excellent livre en passant qui m'aide à me sortir de mes préjugés.

Ça fait des millénaires (sic) que l'homme (l'humanité) a apprivoiser le rude climat rigoureux des hivers, peu import le niveau d'hauteur de la neige et du niveau du thermomètre, toute la ceinture de l'hémisphère nord  en fait partie,  nord de la chine, le nord de l'Asie, les payes scandinave, les Russes (Sibérie) etc la règles est la même pour tous "survie" et chacun culturellement on développer leur façon de faire.

On pourrai faire la liste de tout les trucs et façon de faire de tous et chacun de ses peuples et ils n'y aurait jamais de consensus du comment survire. c'est simplement culturel.

Mes nombreuses expériences hivernal de survie se limite plus aux région du parc des Laurentides malgré une brève incursion de deux ans dans le coins de havre St-Pierre à 150 kilomètres du fleuves.

















 

Bien d'accord avec vous deux. Quand je dis chez nous Liberté 55 . C'était dans le sens de ici au Québec. Le lac St Jean ou Sept Îles ça fait partie de mon chez moi et c'est tout proche. Et oui Ephefrere l'humain a une capacité d'adaptation pour survivre assez grande. Que ce soit la transhumance ou les autochtones qui campaient sur le bord de la rivière de mon village l'été et qui retournait passer l'hiver plus au sud . Le principe reste simple , chercher la fraicheur en été et la chaleur en hiver. La nature est parfois bien clémente mais elle peut être aussi tellement difficile. Je viens de regarder un vidéo sur l'Inde et c'est difficile juste a regarder , alors vivre la j'imagine la résilience qui est nécessaire. Je vais le retrouver pour mettre le lien. J'ai du avoir des bons enseignants en géographie car j'aime toujours chaque coin du monde, ses habitants , ses fleuves, sa politique, ect... Ça faisait longtemps que je n'avais pas entendu parler du Brahmapoutre.  Kukum  doit êre bien intéressant a lire Agaguk a été instructif dans mon enfance.      

Imago écrit:

Toxedo, je ne veux pas brûler ton histoire, c'est celle qui se passe en 1936.

??? serait-ce celle-ci

www.ledevoir.com/vivre/voyage/413312/ven...-2-les-freres-collin